Qui avait bêtement perdu les clefs de son terrier virtuel...
Vous avez le droit de me huer... car non seulement je savais qu'un jour cette mésaventure finirait par arriver mais en plus je n'ai rien fait pour l'éviter par pure paresse.
Serait-ce une invitation à réfléchir sur mon côté procrastinateur ? Ce ne serait pas improbable...
Bref ! Après deux mois de vadrouille (qui feront l'objet d'un récit digne d'un roman d'aventure) et deux mois de "comment réussir à se connecter quand même mon identifiant refuse de se faire connaître ?" (Qu'on oublie le mot magique, passe encore ; quand son identifiant est marqué invalide, comme on dirait familièrement : "là, ça craint !"), j'ai enfin réussi à réinvestir ma demeure sur la toile et vous informe par la même occasion que j'ai connaissance de vous remarques et de vos commentaires.
Je vous répondrais plus tard (j'ai encore un long chemin de rédemption à
parcourir sur les terres de la procrastination), je suis actuellement en plein marathon d'Aïkido pour faire honneur au guerrier que je suis.
Mais promis, je ne vous oublie pas, et vous savez à quel point je tiens mes promesses. ;)
Mata ne !
By Kypic
La phrase de la fin par Jacques Chardonne :
"La paresse est nécessaire. Il faut la mêler à sa vie pour prendre conscience de la vie." (au moins de ses erreurs, aurais-je envie de rajouter...)